La maîtrise de la croissance liée à la pression migratoire ne peut venir que de la volonté des habitants et de leurs élus. Cela passe nécessairement par la définition de ce que l'on veut et ce que l'on entend par maîtrise, c'est à dire quelle portion du territoire doit être préservé dans son naturel et de caractère rural, quelle portion est urbanisable et avec quelle densité d'occupation du sol. Il paraît difficile que cette démarche soit effectuée de manière indépendante par chaque commune, voire impossible s'agissant des 4 communes du noyau du canton.
J'invite vivement ceux de nos élus qui sont encore tièdes pour l'intercommunalité de "projets", à prendre connaissance de la partie finale du document "la fin des paysages" de la Safer. Il s'agit de "Quelques propositions pour ouvrir le débat".
Le document complet de la Safer, qui reprend beaucoup d'éléments du rapport Larcher au sénat est visible sur en suivant ce lien.
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