samedi, mars 04, 2006

Réactivation de l'ACPE Association pour la protection de l'environnement



Invitation à l'Assemblée générale le 11 mars à 17h00 Maison des associations de Tourrettes

2 commentaires:

pratclif a dit…

Voilà une nouvelle qui me réjouit. La tonalité dans laquelle s'exprime cette réactivation me fait espérer un changement dans la manière de faire la politique dans notre pays, dans notre département, dans notre canton et dans nos communes, où les élus, la majorité qui les ont élus, et les "autres" considérés come "opposants" s'affrontent trop souvent dans la polémique et l'invective, ce qui ne mène à rien.

Je rêve d'une communauté dans laquelle les élus et les habitants de toutes sensibilités soient étroitement imbriqués dans l'action et la recherche de solutions pour assurer le bien-être pour tous.

Anonyme a dit…

Cher "partclif",
l'intercommunalité est le plus beau sujet de politique philosophique du moment dans notre canton. Pourtant, celle-ci existe depuis 1976, lorsque les 8 maires des communes du canton (et mon père fut de ceux-là) ont eu la possibilité de se regrouper autour d'un établissement public afin de gérer en commun quelques centres d'intérêt d'importance communautaire (transports, abords du lac de St Cassien, télé-alarme, déchetterie récemment, etc, etc.)
Or, 30 ans après, nous ressentons tous le besoin impérieux d'avancer encore plus vite dans ce domaine.
Mais le problème, voyez-vous, c'est que ce sont les mêmes qui siègent aux conseils municipaux et aux conseils communautaires.
Ce sont les mêmes qui défendent leur souveraineté populaire (ils sont élus par des hommes et des femmes de leur village) et qui "essayent" de partager, de promouvoir, d'harmoniser et plus généralement de développer cette grande idée d'intercommunalité au détriment parfois de leurs propres intérêts locaux.
J'ai toujours prétendu que nous n'avons pas été assez loin dans le cadre de cette loi de 1999, dite 'loi Chevénement'.
Il faudrait élire le conseil communautaire au suffrage universel. Il faudrait que ces élus s'engagent sur un vrai programme communaitaire, qu'il y ait un vrai débat démocratique sur la place publique et que des élus rendent compte de leur action à périodicité. Là, alors, l'intercommunalité avancerait à grands pas. Tant que nous nagerons entre "idée noble" et préservation des intérêts locaux, nous assisterons toujours à un bouillonnement d'idées sans concrétisation sur le terrain.
Moi, cher partclif, mon rêve, il est là !
Jean-Luc FABRE.