samedi, février 14, 2009

Urgence planète terre; la conclusion du livre d'Al Gore.

Voici la conclusion du livre d'Al Gore "Urgence planète terre; l'esprit humain face à la crise écologique". Je me sens tellement en phase avec ces propos que mon émotion est intense. Chacun y trouvera je crois les mêmes émotions.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

L'espèce humaine disparaitra. La terre continuera d'exister avec d'autres vis. Algore souhaiterait il être dieu ?

Anonyme a dit…

Dans la vie de Al Gore, il y a eu un avant et un après An
Inconvenient Truth. Cette catalyse dans la vie de notre protagoniste
revêt un sens particulier dans la construction
de l’image d’une personnalité à un moment charnière du contexte
dans lequel elle évolue. Alors que la plupart des citoyens nordaméricains
et ceux du reste du monde ont oublié l’ancien viceprésident
Al Gore, un énoncé, le film, a réinsufflé, par une stratégie
rhétorique largement axée sur l’éthos et le pathos,
une seconde vie publique ainsi qu’une image « liftée » du
personnage principal du documentaire, tant et si bien que la presse
n’a eu d’autre choix que de refaire un parcours historique sur qui
était Al Gore. C’est ainsi qu’à travers une série d’articles, nous avons
appris que cet homme politique, qui était au fait de sa carrière entre
1998-2000, était perçu comme un tribun peu doué, trop éloigné de
la population, ne sachant pas se mettre à son niveau, peu
empathique et dans tous les cas, responsable de sa défaite aux
élections de l’après Clinton, mais également de la défaite des
démocrates au profit de Georges W. Bush:
En conférence à Montréal, Al Gore a vanté les mérites du Québec pour sa lutte aux GES, même si le Québec n’a même pas encore commencé à appliquer ses politiques. Charmés par ce faux compliment, tout le gratin gaga de Gore, incluant des écologistes de renom, ont probablement applaudi à tout rompre. À voir la mine rayonnante de ces Gore-groupies de luxe dans La Presse, il n’est pas évident que «La vérité qui dérange» de Gore les aient un tant soit peu dérangés. Un super show de boucane écolo par un surconsommateur, pour maquiller la cupidité des capitalistes qui détruisent la planète. Impressionné, le bon peuple n’y a probablement vu que du feu. La devise du «nouveau capitalisme» :

«À tout malheur, quelque chose est rentable».

Anonyme a dit…

un peu d'humour dominical...

Il est faux de croire qu'Al Gore a découvert tard le nécessaire développement durable. Jeune, il était déjà un farouche opposant à l'avortement.