mercredi, mars 04, 2009

pays de Fayence: Préserver les terres agricoles

9 commentaires:

Anonyme a dit…

Les exploitants agricoles locaux à l'époque ont conduits leurs enfants
à faire des études, donc avoir des
diplomes... pendant ce temps bon nombre de parcelles exploitables
perdaient leur droit d'eau au travers de divers canaux ! Les diplomes ne suffisant plus, aussi lorsque ces jeunes veulent revenir à la terre, il y a semble-t-il un
problème ? A moins bien sûr que
l'on remette vite en état ce que les anciens avaient institués :
l'irrigation. Es-ce possible ?
simple question !

Anonyme a dit…

Et si les enfants ont des diplômes donc un travail ils ne retournent au pays pas pour reprendrent une activité agricole mais pour y construirent une maison ,donc les parents font pression auprés des élus pour que la terre agricole deviennent "constructible".
Avant il y avait la culture de la rose, du jasmin ,des haricots vert ect et des rigoles pour l'arrosage.
Pour beaucoup d'exploitant la vente d'un terrain assure le beurre pour la soupe,probléme de temps!!!!!!

Et les féves autour des oliviers sont remplaces par des piscines et de l'herbe vert!!!.

Anonyme a dit…

Pas d'accord sur le fait que les "anciens" seraient plus malins que les "nouveaux"... La preuve, ce sont les anciens qui ont abandonné... et ce sont les "nouvaux" qui souhaitent revenir à la terre.
A condition bien sur qu'on considère "le pacoulin" comme un être doté d'un intelligence vive et pragmatique...
Mais le fond de votre question est bon. Qu'en est il du prix de l'eau pour un exploitant agricole aujourd'hui ? Comment peut il fournir en eau une production ??

pratclif a dit…

Jacques Dupont envoit ce lien.

Anonyme a dit…

Petit rappel que les agriculteurs soient anciens ou jeunes la terre reste basse dans notre pays!!et rien ne pousse sans soin,sans amour de la terre ,avis aux nouveaux rêveurs.
Dans le "temps" avec six moutons tu avais un terrain de 1500m² environ maintenant même avec six troupeaux tu n'y arrive pas ,vous avez la réponse avec le prix de l'eau .
Histoire d'époque et pour revenir en arriére,c'est comme avec les salaires.

Anonyme a dit…

l'association alice organise très bientôt dans le courant du mois de mars ou début avril une assemblée générale extraordinaire sur toile de fond : "aider à aider" les précaires à s'installer en agriculture.
Soyez nombreux à ce rendez vous. Les solutions aux problématiques énoncées ne pourront sortir que du débat.

Anonyme a dit…

l'association A.L.I.C.E. est surement dirigée par des personnes de grande qualité, la seule question posée est très simple, vu la direction prise localement vers
l'agriculture par cette association, l'un de ces membres a t il été seulement déclaré à la MSA ??? simple question bien entendu !!!!!!!!!!

Anonyme a dit…

La réinsertion des S.D.F. part de très bonS sentiments, alors pourquoi pas les aider dans un nouveau boulot,(simple question)
genre VINCI, VEOLIA ou VIVENDI en contrepartie de l'exploitation de FONSANTE (DONNANT/DONNANT) celà évite de demander encore une ponction sur les subventions, mais par contre,
une médaille sera attribuée à chaque citoyen aidant ces SDF à se sortir de
la précarité par un travail sérieux dans une multinationale !!! on oblige bien les grandes entreprises d'employer justement les handicapés. Bons coeurs vous
êtes EXTRA, mais attention les
ressources s'épuisent...

Anonyme a dit…

Vous avez tout dit dans votre dernier post.
A propos de l'avant dernier, il est évident que l'un d'entre les sdf (ou les bénévoles d'alice) doit cotiser à la MSA. Le statut d'agriculteur "secondaire" nous paraît être en adéquation avec les besoins au démarage.
Merci pour votre intérêt