samedi, juillet 26, 2014

Le chômage poursuit sa progression en Juin 2014.

Le chômage est un symptôme; la conséquence d'une sous production, d'un sous emploi des capacités de production de la société. Le dépenses des uns sont les revenus des autres comme la production des uns permet la consommation des autres. En cette période estivale et de vacances, une partie de la population peut se déplacer au loin, acheter des séjours à l'hôtel ou en camping, des repas au restaurant, des produits du terroir, des glaces, des divertissements et des plaisirs divers. Ce sont ceux dont les revenus - prix payés pour leur travail au sein d'entreprises de production de biens ou de services marchands et d'administrations publiques - permettent plus que le loyer, la nourriture... le minimum vital... L'économie d'échanges - les dépenses des uns sont les revenus des autres - se voit très bien dans les nombreux centres touristiques de la côte méditerranéenne. Il en est de même en hiver lors de lafréquentation des stations de ski.  Suite...

10 commentaires:

Anonyme a dit…

C'est une blague ? Hollande et ses ministres nous avaient dit que la courbe s'inversait !!!! Oui il fallait comprendre s'accentuait ! La gauche que des rigolos qui entrainent la France dans la misère en donnant les avantages aux étrangers , jusqu'à ce que le peuple français se révolte et chasse les nouveaux seigneurs capitalistes et politiques qui tuent à petit feu la population des français. Certains Français ont compris et quittent notre pays pour laisser la place aux étrangers qui n'attendent que cela pour nous dominer...... attendons la loi du vote des étrangers hors CE et ce sera le début de la fin ! ! La gauche c’est la faillite de la France. Pauvre France tu étais si belle !

Anonyme a dit…

Fréjus Saint Raphael : restauration juillet : moins quarante pour cent... on ressort les pièces jaunes... pas pour la fondation de Mme Chirac MAIS
pour égayer de très menus plaisirs.
la réalité dépasse la fiction. C'est GAULE HAINE qui va redresser la France
avec son écologie, pendant que les allemands et ukrainiens nous quémandent
de l'énergie électrique que nous leur fournissons : ON MARCHE PAS SUR LA TETE, NOUS SOMMES MURS POUR L'ASILE.
TRISTAN MOURHIR

pratclif a dit…

Voir:
- Hervé Mariton : «Ségolène Royal est une menteuse et une magicienne»
- Le coup d'envoi est donné pour la loi de transition énergétique

Anonyme a dit…

"NOUS SOMMES MURS POUR L'ASILE"... certains semblent beaucoup plus mûrs que d'autres !

pratclif a dit…

On ne dira jamais assez que pour qu'une entreprise existe, il faut qu'elle vende ses produits ou ses services à des consommateurs et clients; si elle n'arrive pas à les vendre il faut qu'elle cesse d'exister et licencie son personnel. C'est tout de même formidable que, quels que soient ceux à qui je parle, ils savent et comprennent parfaitement cela. Ne parlerai-je qu'à des gens qui pensent la même chose que moi? Or au niveau d'en haut, on a l'impression que nos élites, nos politiques, nos énarques, nos fonctionnaires et nos syndicalistes, ne savent pas comment fonctionne une entreprise. Si l'entreprise doit payer les services de l'État à un prix excessif, vu le prix auquel les clients sont prêts à payer, c'est d'autant qu'elle doit réduire la rémunération de ses employés ou diminuer leur nombre donc produire moins; produire moins et employer moins de monde que ce qu'elle pourrait produire et employer.

Anonyme a dit…

Certes plus murs que d'autres, mais raisonnablement plus logique dans un pays à nouvelle culture du "couteau", ça change des poings dans la gueule mais les pauvres fous continuent a contempler la dette colossale sans définir aucun responsable ce qui fait l'affaire de la démocratie, bravo les pauvres zoulous hexagonaux de nous amener dans un tel merdier par un manque de courage évident. Faut pas se tromper si .....
JEAN RIGOL ANJHOR

pratclif a dit…

Quand les entreprises font des erreurs, elles sont sanctionnées par la chute de leurs ventes et doivent changer de politique ou disparaître. Quand l'État, ses fonctionnaires et ses entreprises publiques monopolistiques font des erreurs, ils ne sont jamais sanctionnées par la chute de leurs "ventes"; ce sont leurs "clients" qui sont sanctionnés, c'est à dire le peuple. Le changement de politique consiste à faire d'autres choix ou à remplacer les uns par les autres qui appartiennent au même système; ces choix peuvent être d'autres erreurs... on continue ainsi vers l'abime.... Sur le même sujet lire ce billet de Bruno Bertez.

Anonyme a dit…

Il y a quelques années en arrière, lors d'une émission télévisée des femmes politiques face à la "base" en direct, posaient de toute leur superbe, les GUIGOU, ROYALE et AUBRY, interpellées par un marchand de chaussures
qui se plaignait déjà du "début" de la crise, et devant les propos '"rassurants" du trio, n'en pouvant plus, notre marchand pose une simple question :
"LAQUELLE D'ENTRE VOUS A GEREE UNE ENTREPRISE".
Les masques à ce moment là sont tombés, comme le rideau de la Comédie.
FORD DUKAFE

pratclif a dit…

Comprendre le chômage, ce que nos zélites ne comprennent pas...

Anonyme a dit…

Les zélites ne comprennent rien, sinon nous n'aurions jamais eu de socialisme, communisme, capitaliste, mais des gens axés au développement des énergies pyramidales, a savoir qu'en aucun cas on oublie " SEULE LA BASE FAIT LE SOMMET".
TRISTAN MOURHIR