mercredi, juin 03, 2015

Le drame des immigrés cherchant le refuge en Europe: Réfugiés : l'Europe doit se souvenir !

Lors de la Première Guerre mondiale, chassés de leur pays ou déportés par les forces ennemies, des millions d'Européens sont devenus des réfugiés. C'est ce qui a donné naissance par la suite à un accord international pour parvenir à une réaction efficace destinée à diminuer la souffrance des personnes déracinées. Un siècle plus tard, une nouvelle crise des réfugiés est en cours, et cette fois-ci c'est l'Europe qui est en position de fournir un asile à toutes ces personnes désespérées. Pourtant jusqu'à présent elle ne répond pas à l'urgence de la situation ; elle ne se montre pas à la hauteur... Suite...

Plus sur les populations d'Afrique, de Syrie et d'ailleurs - hommes, femmes et enfants, affamés, maltraités et persécutés dans leur pays de naissance...  Suite...

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Merci pour cet article, on peut ajouter que nous avons une responsabilité dans certains exodes comme en Lybie.

pratclif a dit…

Je veux bien perdre du pouvoir d'achat pour que mon pays vienne en aide a ces réfugiés et les accueille. Mais pas pour des syndicats des fonctionnaires grassement payés des retraites chapeau exorbitantes ou des Agnès Saal.

Anonyme a dit…

L'auteur ( ou auteure) devrait en préalable nous expliquer en quoi les populations européennes sont responsables des conséquences sans précautions de l'activité pénistique des populations africaines. Si mon voisin fait des gosses à tire l'arigot, simplement parce qu'il n'en a rien a foutre et me demande de les prendre en charge, je dis : NON. Moi aussi, je suis capable d'engrosser dix femmes et de m'en foutre. Pour celui qui a un peu voyagé en Afrique, il doit se rappeler que les mecs locaux se croient les seuls capables de niquer a tout va. C'est leur affaire, mais qu'ils cessent de nous culpabiliser sur les conséquences et se démerdent avec. Point barre. Maintenant , si quelques jean-foutre se croient obligés de s'auto-flageller , je ne m'y opposerais pas.