910€, Voilà la somme qu'il fallait débourser en début d'année pour
s'offrir un mètre carré à Saint-Etienne. A Paris, pour la même surface,
il fallait compter 10,6 fois plus (9 680 euros) ! Un vertigineux rapport
de 1 à 10, inimaginable dans d'autres domaines. On ne tolérerait pas
qu'un Stéphanois soit payé 10 fois moins qu'un Parisien. Ou qu'il touche
une pension de retraite 10 fois inférieure. Pourtant, dans un pays
attaché à l'égalité (territoriale) et où « La République est indivisible
», comme le proclame la Constitution, les fractures géographiques en
matière de logement sont très profondes. Et multiples. Suite...
Pour compléter ce dossier voici les salaires moyens en pays de Fayence. De quoi calmer l'ardeur des bobos écolos à revenus relativement confortables venus s'installer en campagne au calme.
RépondreSupprimerCarte peu parlante sans y faire figurer salaire moyen en valeur et °/• relatifs de revenus, les tons de gris sont insuffisants pour utiles comparaisons en critères de choix. Dossier à priori trop ambitieux à mon avis.
RépondreSupprimern'empêche! le crédit immobilier facile, au plus bas 1.1% sur 20 ans... permis par la politique de la banque centrale pour soutenir l'économie (sans grand succès), contribue forcément à la hausse des prix de l'immobilier dans l'ensemble. Comment cette hausse se distribue dans le pays selon métropoles, villes moyennes et petites, et zones pérphériques et rurales. On sent ici en pays de Fayence (je ne sais pas à Bagnols) une tendance au changement: les agences manquent de biens à petits prix correspondant à des demandes d'actifs des bassins d'emplois des AM. Cela va déctoissant de Montauroux vers l'Ouest... On n'a pas fini d'urbaniser.
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