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vendredi, janvier 17, 2020

Le comité local de la REM veut peser sur les élections municpales

Le comité local de la  REM veut peser sur les élections municpales au niveau de la communaté de communes.
Sous le titre: "Pays de Fayence, un pays vert, attractif, créateur d’emplois" la République en Marche pays de Fayence élabore un ensemble de propositions pour la communauté de communes et sa future gouvernance qui émergera des élections en mars prochain.
Lire ces propositions....

4 commentaires:

  1. Dans l'ensemble ce document de la République en Marche locale, est bon mais insuffisant, pas assez précis et très peu documenté.

    Il y a des erreurs notamment sur le personnel de la CCPF, sur le nombre et la répartition des conseillers communautaires. Sur les déchets et la perspective de tarification incitative.

    Sur l'eau, la séparation eau brute - eau potable, et sur la loi Engagement et Proximité susceptible de rendre la compétence eau assainissement aux communes récalcitrantes.

    Sur le projet Fonsante il y a erreur d'information; le projet est au stade de la demande d'approbation environnementale auprès du ministère de la transition écologique et solidaire par la DREAL Paca. En cas de réalisation, un comité de suivi avec des élus de la CCPF, appuyé par un cabinet d'expertise indépendant, sera mis en place.


    Insuffisamment documenté, car  il ne mentionne pas les autres  associations "militantes" qui oeuvrent pour le pays de Fayence dans la perspective des municipales; dont "Demain pays de Fayence" et ce blog.

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  2. indigeste. Encore de la propagande sur les "trois points" de l'exposé.

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  3. Autre réflexion sur ce comité local LREM. A la lecture de leur site basé à Mons; 21 membres,  l'animateur Guy L. et deux  co animateurs: Jean F.  et Catherine A.  LREM n'est pas une force politique importante en pays de Fayence. Le document "conseils aux futurs élus communautaires" témoigne de la volonté de ces animateurs de participer utilement à la vie locale en rejoignant une équipe municipale. Guy L. avec Marco Orfeo et la liste "Héritage et Renouveau" à Fayence; peut-être Jean L. avec René Ugo à Seillans. Je ne connais pas Catherine A.


    Le document reflète un travail de  découverte de la CCPF par leurs auteurs... Comme toute étude, elle a ses imperfections, ses ommissions, ses erreurs et peut être améliorée.  Je relève notamment l'idée d'assurer ses services au moindre coût. Je préfére dire, assurer ses services avec la meilleure efficience et efficacité ccar c'est l'essence de la mise en commun de ces services par les communes membres.


    Cela dit, leur  démarche me fait découvrir ce que je crois être une erreur fondamentale dans l'idée qu'on a  de la CCPF; le transfert de l'eau en est le témoin.  La CCPF n'est pas une institution supplémentaire supra communale et concurrente avec les  communes qui se disputeraient en son sein. Les communes restent l'institution de base de notre démocratie. En créant les intercommunalités le législateur en bien défini le rôle: ce sont des établissements publics de coopération intercommunale ECPI. Les communes leur délèguent des compétences qu'il est plus efficient et efficace de gérer en commun que seules. Il en résulte alors des économies d'échelle et ou une amélioration des services sans accroissement de leur coût. Les compétences obligatoires ont été données pour les EPCI se créent, et la loi NOTre a renforcé le mouvement.


    Mais avec le transfert de l'eau on est allé trop loin. C'est pourquoi l'association des maires de France s'est regimbé. Que le Sénat s'y est opposé et que la loi Engagement et Proximité a été voté le 19 décembre 2019.


    Les communes qui le souhaitent peuvent donc reprendre la gestion de l'eau. Ce sera sans doute fait après les élections si les nouveaux conseils de Callian, Tourrettes et Tanneron restent opposés au transfert.

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  4. contradiction totale entre exposé et conclusion relative à la distribution de l'eau, cette distribution éclatée est typique du small is beautiful avec 2/3 communes bien gérée, 2/3 passablement et 2/3 fort mal avec un intérêt majeur pour une mutualisation.

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