mardi, avril 22, 2014

Philippe Aghion, Gilbert Cette et Elie Cohen: La France doit changer de modèle économique



Un constat sans appel de trois économistes, Philippe Aghion, Gilbert Cette et Elie Cohen.

5 commentaires:

Anonyme a dit…

Un mot sur l’école, EC pointe avec justesse le manque d’efficacité de l’institution (cf. les classements PISA) sans se risquer à proposer des pistes ; or on peut être inquiet quand on prend conscience de la nécessité de limiter les dépenses et de la passivité, le mot est faible, des nouvelles générations d’élèves, et notamment ceux issus de milieux défavorisés, qui sont loin de voir dans l’école la (seule) chance à saisir.

Anonyme a dit…

Sur l'école, et son véritable niveau d'enseignement, il y aurait beaucoup à dire. Volonté de nivellement - pas une tête qui dépasse-, facilité pour les enseignants de ne pas faire avancer les élèves, c'est plus cool? Je m'étonnais récemment du très faible niveau d'anglais d'un de mes petits enfants, pourtant réputé élève brillant, dans un bon lycée de la région parisienne, après près de 10 ans d'enseignement de cette langue par l'E.N. Et lui demandais s'il n'avait pas tendance à s'endormir plutôt qu'apprendre. En réponse, il m'explique, (il est en terminale avec près de deux ans d'avance et se dirige vers une école de prépa), que , depuis des années, les profs de langues passent presqu'un trimestre a revoir ce qui n'a "pas été assimilé" par les brêles l'année précédente, puis en raison d'absences fréquentes, maternités, maladie, formation, etc... " grandouillent durant ce qui reste de durée scolaire. Tout cela en leur laissant croire que tout va bien. Seule exception : quand l'un ou l'une des enseignants (tes) a un gosse dans le nez. Et curieusement ce n'est jamais celui qui traine, perturbe la classe et empêche les autres d'avancer. Comme diraient les auditeurs a JJ Boudin sur Radio Ma Concierge : "bravo JJ, continuez comme cela" . PS (pas socialiste) : vous pouvez remplacer ma concierge par mon couscous.

Anonyme a dit…

@ Anonyme du 24 avril, 2014 14:41
« Volonté de nivellement… facilité pour les enseignants de ne pas faire avancer les élèves… rabâchage… grandouillage (sic)… absences fréquentes… », manifestement voilà un commentaire tout en nuances qui à n’en pas douter émane d’un(e) spécialiste de la question. Un conseil toutefois : avant d’en parler, renseignez-vous sur la réalité de l’école et peut-être prenez d’autres avis que celui du petit-fils « pourtant réputé élève brillant ».

pratclif a dit…

Retrouvez les chroniques de d'Emmanuel Davidenkoff directeur de l'Étudiant.

et la revue l'Étudiant

et

Rapport PISA 2013

Anonyme a dit…

A l'anonyme du 24 à 14 heures : Visiblement, vous vous sentez concerné et devez faire partie de ces arrogants de l' EN qui n'acceptent jamais de reconnaitre la réalité. J'ai cité un cas que ce connais personnellement, et pour cause, mais j'ai aussi connaissance de la situation d'autres élèves à qui vos pareils sont loin d'apporter ce pour quoi ils sont payés. (Même ceux "détachés" en permanence) Quant à connaitre la réalité de l'école, il se trouve que j'ai des enseignants dans ma famille, mais comme ils sont une exception - n'étant pas de gauche- , ils ont la même opinion. A votre tour de vous renseigner, si toutefois vous êtes capable d'objectivité. Ce dont je doute fortement, devant vos dénégations.