mardi, mars 27, 2007

Aérodrome de Fayence Tourrettes

Toujours dans un esprit de neutralité et d'objectivité, j'invite les lecteurs à lire ce communiqué des vélivoles, lu sur leur site.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

S'il y a soucis de neutralité, il faut alors afficher aussi la réponse de l'école d'ULM qui suit, et qui a déjà était publiée dans tous les blogs et féderations :

Communication de l’école d’ULM MOROSINI, en réponse au communiqué du bureau de l’AAPCA (et non pas, je pense, de l’ensemble de tous les membres de l’AAPCA…), qui n’est d’ailleurs pas signé par son rédacteur… : 1/ : « Utilisation principale et « ancestrale » de l’aérodrome par le vol à voile… » : Vous oubliez, Monsieur, que ce terrain était à l’origine un terrain militaire, qui s’est ouvert par la suite à la CAP afin d’accueillir sans discrimination tout ce qui vole sans exception. 2/ : Dans les années 90, vous parlez d’un avis négatif de l’administration de tutelle, quant à l’implantation d’une école d’ULM sur le terrain de Fayence. Puis cette dernière, en 2000, est revenue sur ses avis antérieurs, considérant que l’expérience pouvait être tentée. Vous dites que son but était « de ne fâcher personne » ! Je ne pense pas qu’une administration française digne de ce nom, ne puisse prendre ses décisions, juste « pour ne fâcher personne », comme vous l’affirmez !. Cela ne serait pas très sérieux. Vous travestissez encore la réalité des faits. Elle a simplement fait le bilan de l’activité Vol à Voile sur ce terrain, après une nouvelle enquête de circulation. Comme nous l’avons déjà indiqué dans nos derniers commentaires, nous constatons que dans les années 90, les heures de vol à voile par an avoisinaient les 24000 heures, alors qu’actuellement, elles frisent les 12000 heures, dont la moitié est réalisée par les propriétaires de planeurs privés, membres du club , et l’autre moitié par les autres membres du club de vol à voile, circuits, leçons et baptêmes confondus ! L’activité a chuté de plus de 50% en quelques années, sur un terrain de 70 hectares. Ce n’est donc pas la bousculade !, La DGAC a donc décidé que rien n’empêchait une activité d’école d’ULM sur ce terrain. De plus, elle a fait remarquer très justement que les ULM avaient beaucoup évolués techniquement, (Les ULM ont bénéficié d’une avancée technologique très importante et sont devenus très surs, très économiques en énergie et très peu polluants.). La étaient les raisons de son changement d’avis, et « non pour ne fâcher personne » !. Vous êtes d’ailleurs, par votre attitude, en train de fermer la porte de votre club à toute cette avancée technologique que représentent les motoplaneurs ULM dans le monde de l’aviation, et qui représente l’avenir du vol à voile.(votre fédération utilise elle-même des motoplaneurs ULM à St Auban, ayant bien compris qu’ils font parti de l’avenir du vol à voile et de l’aviation en général. Certains motoplaneurs ULM affichent jusqu’à 40 de finesse.). Vos membres vous en remercieront. 3/ : Vous avez, toujours selon vous, offert votre aide pour chercher des solutions alternatives ! Lesquelles, Monsieur ?. De trouver un autre terrain dans le coin ? au prix ou se situe le foncier actuellement ? Nous n’avons droit à aucune aide, contrairement à votre club qui est subventionné par le conseil général pour l’école de vol à voile (donc par les contribuables…). Vous n’avez proposé aucune solution, vous avez juste essayé de vous « débarrasser » de ce qui était indésirable pour vous ! 4 / : Vous avez l’air de prendre ombrage, du fait que nous sommes une société commerciale ?!. Quel est le problème ? Qui a-t-il de différent entre notre société et votre club ? Notre société s’assume financièrement. Votre club reçoit des subventions… Le prix de l’heure de vol est le même, quelle que soit la structure. Le fonctionnement reste le même. Les employés sont salariés, qu’ils soient dans un club ou une société. La seule chose qui peut différer reste l’accueil, qui comme tout le monde le sait, reste souvent meilleur dans le privé ! Regardez encore la mauvaise réputation du club de vol à voile, qui a même dépassé les frontières… Nous sommes une des plus anciennes écoles d’ULM de la région PACA, affiliée à la FFPLUM, et nous avons obtenu le label fédéral, grâce à la qualité de notre enseignement. Qu’importe que ce soit une société ou un club. Tous les aérodromes de France ont toujours accueilli des sociétés commerciales qui cohabitent très bien avec les autres utilisateurs des terrains. Vous-même, il y a quelques années, avez accueilli la société commerciale SCAP, concessionnaire de planeurs et motoplaneurs, sur votre terrain. Vous lui avait même permis de construire un hangar afin d’y abriter ses activités commerciales. Alors, existe-t-il de la ségrégation sur votre terrain ? Pourtant, cela fait des années que nous vous écrivons régulièrement afin de vous demander l’autorisation de construire un hangar (à nos frais) sur le terrain, pour y abriter notre école et nos avions. Et toujours la même réponse de votre part, de mise en demeure de cesser nos activités, alors que vous n’en avez pas le pouvoir et le savez pertinemment. Il me semble aussi, sur ce terrain, qu’il existe un restaurant très bon d’ailleurs, et très accueillant, qui, a l’époque, était géré par l’association, et qui maintenant est devenu une affaire commerciale indépendante du club, afin d’être plus en phase avec la réglementation. Personne ne s’en plaint, même pas vous. 5 / : Enfin, vous affirmez une fois de plus et en toute mauvaise fois que notre école s’est installée sur le terrain, en vous mettant devant le « fait accompli ». Je ne comprends pas que vous vous obstiniez dans votre mensonge. Je réaffirme donc que nous vous avons écrit tous les ans depuis 1991, pour vous demander l’autorisation d’installer notre école de pilotage ULM sur l’aérodrome, et vous n’avez jamais répondu à nos courriers. Est-ce parce que vous estimez que les ULM sont les parents pauvres de l’aviation ? Ou pas assez nobles pour côtoyer vos beaux planeurs ? En tous les cas, mes demandes ont été envoyées en double au district de Nice qui en possède donc des copies. De plus, avez-vous déjà oublié les réunions organisées à Fayence par la DGAC, afin d’intégrer notre école sur le terrain dont vous êtes le gestionnaire. Pourtant le district de Nice, la DAC sud est d’Aix en Provence, la DGAC de Paris ainsi que vous-même et nous, en tant que représentant de notre école, y étions tous présents. Peut-être avez-vous oublié?!.(vous vous souvenez, c’est le jour ou vous avez offert tous les vols gratuits pour vos membres, afin de faire beaucoup de mouvements sur le terrain, dans le but de travestir la réalité de la situation !). Pourtant vous avez signé une convention avec l’Etat le 10 août 1982, ou dans le chapitre concernant l’exploitation, l’Article 25 « EGALITE DE TRAITEMENT DES USAGERS » stipule : « Le signataire s’engage à placer tous les usagers de l’aérodrome sur un pied de stricte égalité dans la limite des nécessités du trafic et des possibilités des ouvrages, bâtiments et installations de l’aérodrome. ». Or, ces dernières années, vu la sous utilisation de l’aérodrome et de ses locaux, vous ne respectez en aucun cas vos engagements. Certains de vos locaux sont même utilisés à d’autres fins que celle du club de vol à voile ! Ce qui a pour conséquence le « bivouac » de notre école, reléguée sur la route, par votre obstination. 6/ : Et pour finir, vous affirmez qu’il y a 5 écoles sur le terrain, avec 4 ou 5 ULM chacune… ! Est-ce une plaisanterie ? Vous savez pertinemment qu’il n’y avait jusqu’à présent, que deux écoles sur ce terrain, avec chacune deux ULM et deux instructeurs. Une troisième s’y est installée tout dernièrement avec un seul appareil. Quand vous annoncez la venue prochaine de 10 écoles d’ULM, vous savez très bien que cela est parfaitement impossible. Il n’y a de la clientèle que pour une ou deux écoles maximum, et les choses vont rentrer dans l’ordre d’elle-même, en se régulant par rapport à la demande. De même qu’il ne pourrait pas y avoir plus qu’une deuxième école de vol à voile sur ce terrain !. Vous extrapolez pour faire peur !. Une dernière chose très étonnante : Dans le compte rendu du conseil syndical du 8 février 2007, vous citez: « l’activité ULM est incontrôlable à ce jour, car non soumise aux mêmes contraintes que l’aviation, raisons pour laquelle cette activité est souvent composée de personnes exclues de l’aviation (personnes âgées n’ayant plus l’autorisation médicale de voler) » C’est une honte de tenir des propos pareils, en contre vérité totale. Propos tenu par les membres d’un bureau dont la moyenne d’âge frise les 65 ans et dont les membres sont de plus en plus vieillissants, faute de renouvellement par la jeunesse qui ne se reconnaît plus dans l’accueil qui leur est fait. De plus certains membres de votre club possèdent des motoplaneurs ULM abrités dans vos hangars. Font-il parti des exclus de l’aviation ?... Votre communication, sereine, certes, mais toujours éloignée de la vérité, montre vos talents d’orateur, mais il ne faut pas oublier qu’un avocat défend même les coupables, tout en le sachant pertinemment. Vous êtes coupable de ségrégation et d’ostracisme envers une branche grandissante de l’aviation, et qui représente l’avenir dans l’aviation légère. Vous refusez d’admettre que les temps ont changé, et que nos ULM ont largement dépassés les prouesses techniques de vos remorqueurs. Vous avait tellement crié à qui veut l’entendre que tant que vous serez là, il n’y aura jamais d’école d’ULM sur « votre terrain », vous vous êtes tellement engagé dans une lutte inutile et injuste, que vous ne pouvez plus reconnaître la réalité. Vous avez tellement entraîné de personnalités dans votre sillage, par des fausses vérités, qu’il vous est impossible de faire marche arrière. Il est trop tard. La seule solution est de laisser la place à un gestionnaire plus ouvert et plus à l’écoute, et surtout plus tourné vers l’avenir, le vrai, afin de ramener la paix des esprits dans cet aérodrome et dans ce canton. Vous avez trompé les gens par vos discours et vous mettez en grave danger votre club et le terrain tout entier. On se rappellera de vous d’en l’avenir comme de : « celui par qui le scandale arrive… ».
Pascale et Stéphane MOROSINI SAUTEL

Anonyme a dit…

Je tombe par hasard sur l'interminable article de la dénommée Pascale, farouche partisane du déclassement de l'aérodrome de Fayance. Cette personne pousse a fond pour les ULM sur le site. Peut etre, elle et ses amis, pourraient ils proposer aux riverains de racheter à prix d'or les propriétés voisinant le terrain et tout le canton pendant que nous y sommes. Ainsi, ils seraiennt "chez eux" , pourraient y faire n'importe quoi et ne pourriraient pas la vie des autres. Mais au fait où habite-t-elle madame Pascale, grande donneuse de leçons?