samedi, mai 08, 2010

Ceci n’est pas un plan de rigueur!

Chronique de Jean François Kahn.

12 commentaires:

Anonyme a dit…

JF KHAN y va allègrément de sa grande bouche sur les plateaux télé et pond des articles de critiques tous azimuts. Très bien. Mais a t on jamais entendu ou lu une proposition constructive de ce clown?

Anonyme a dit…

... et pendant ce temps là.. un autre " AVOCAT du barreau de Paris, installé aux commandes,
FRANCOIS BAROIN, augmente l'effectif de tous les avocats qui nous dirigent. Rien contre, mais tout de même...
pas uto pique

Anonyme a dit…

et pendant ce temps là, l'on peut lire page deux var matin mercredi 12 mai, le FAIT DU JOUR en titre lettres bleues (!) : "les étrangers désertent le pays de fayence". Même les français déserterons le secteur si celà continue...
pasuto pique.

Anonyme a dit…

Et oui ils partent les étrangers du nord de l'Europe mais pas ceux du nord de l'Afrique !!!!eux ils s'accrochent.


Kilométre

pratclif a dit…

OUI c'est ici. Cliquer. Et l'article de Var Matin: la chute de l'immobilier la catastrophe!!! Cliquer.

Anonyme a dit…

Callian village perché ,son église ,sa cascade ,bref la Provence oui mais dans ses ruelles "C" la casbah,ses paraboles,ses trafics,ses papiers gras manque plus que des ânes ,ses hiou hiou (il y sont avec les mercedes a chaque mariage) et les trois priéres!
Mais qui loue des deux piéces sans salle d'eau pour douze personnes!!!!!!

Anonyme a dit…

FRANCE REVEILLE TOI.


> > Ma France a un hymne et c'est la Marseillaise.
> > Ma France a une cuisine et c'est la bouillabaisse.
> > S'il arrive à ma France de manger du couscous,
> > Ma France ne veut porter ni burka ni burnous.
> > Et pour que ses vêtements n'envahissent pas nos régions ...


> > FAITES DONNER LA LEGION.


> >

Ma France c'est un bistrot où coule le gros rouge.
> > Ma France n'a qu'un drapeau et il est bleu, blanc, rouge.
> > Ma France mange du porc et du bon saucisson
> > Et n'entend rien changer à ses belles traditions.

Et s'il faut à ces cons faire entendre raison




> > FAITES DONNER LA LEGION.




> > Ma France c'est un village surmonté d'un clocher
> > Et non pas un fondouk doté d'un minaret.
> > Nul ne veut un imam à la place d'un curé
> > Ou voir une fatima jouer les députés.
> > Et face à cette racaille qui pollue la nation




> > FAITES DONNER LA LEGION.


> >
> > Ma France se veut être fille aînée de l'église.
> > Ma France est généreuse mais chrétienne avant tout ...
> > Et si toutes les autres sont largement admises
> > vraiment aucune nouvelle s'imposera chez nous.
> > Et face aux islamistes qui huent notre religion


> >

FAITES DONNER LA LEGION.


> > Ma France n'a rien de black et encore moins de beur ...
> > Ma France n'est pas plus jaune que grise, mais bien blanche
> > Et si nous accueillons tous les gens de couleurs,
> > Ce n'est pas uniquement pour qu'ils fassent la manche.
> > Et face aux immigrés qui bouffent tout notre pognon


> > FAITES DONNER LA LEGION.


> > Ma France n'a que faire de tous les clandestins
> > Et autres sans-papiers qui gâchent notre quotidien.
> > Il faut les renvoyer manu militari que cela plaise
> > ou non à certains ahuris.
> > Face aux envahisseurs qui occupent nos maisons




> > FAITES DONNER LA LEGION.


> > Les terrains de football ne sont plus que crachoirs
> > où des soi-disant français sifflent l'hymne national.
> >
> > Pour l'heure seul le rugby fait bien plaisir à voir.

Les matchs ne finissant pas en bagarre générale.
Aussi pour que les stades n'aient plus un seul morpion


> >

FAITES DONNER LA LEGION.




> > Les banlieues parisiennes sont des zones de non-
> > droit où certains trous du cul font régner leur seule loi.
> > Policiers et pompiers ne peuvent intervenir sans
> > se faire caillasser ou bien se faire pourrir.
> > Si nos forces de l'ordre ont peur de la baston


> > FAITES DONNER LA LEGION.


> > Nous n'invitons personne à regagner la France,
> > Mais que les étrangers respectent bien nos lois.
> > Nous entendons bien vivre en bonne intelligence
> > Mais avec des personnes qui aiment notre toit.
> >
> > FAITES DONNER LA LEGION.

pratclif a dit…

attention à ne pas me faire accuser d'être un blog raciste; voir ou revoir ce que sont des propos racistes. Cliquer.

Anonyme a dit…

Au mal informé sur la religion d'amour musulmane : il n'est pas prescrit trois prières par jour, mais CINQ. De même qu'une sourate du saint livre recommande de tuer tous les infidèles partout où on les trouve. Attention a toi , mécréant!

Anonyme a dit…

Il est vrai que cette manne absente pèsera surement sur l'économie locale, mais qu'a t on fait de censé pour retenir cette clientèle qui cherchait à s'intégrer ! Plus vue pour une clientèle "vache à lait", cette dernière l'avait bien ressentie. Dommage. Nous allons rester entre nous à nous raconter les mêmes histoires, surtout celles d'après la guerre. Il faudra toutefois être costauds pour résister à une autre invasion, ma foi, se remettre tout simplement au travail peut-être? Celà ne fera pas les affaires de scant'dinave
mais tant pis, une nouvelle donne
est à traiter.
Legalliard.

Anonyme a dit…

A toutes choses, malheur est bon! Le départ de certains consommateurs de sécurité sociale, sans versements de cotisations en contre-partie, soulegera un peu (si peu) le gouffre de déficit de cet organisme. Mais ne dit on pas que les petits ruisseaux font les grandes rivières.

Anonyme a dit…

Le "plan de rigueur", certains n'y croient pas et d'autres pensent que leur position de "serviteurs" de l'Etat ou des Collectivités, les mettra a l'abri, tandis que les soutiers du privé peineront d'avantage. Il faut être bien conscient qu'il ne s'agit plus d'une crise, mais d'une mutation, que l'on sera ou non capables d'aborder. Un pays comme la France qui, à sa manière triche depuis des décennies sur son PIB va salement dérouiller et les fonctionnaires avec, même s'ils croient passer à travers les gouttes. Lorsque l'on comptabilise en PIB les dépenses de l'Etat hors investissements, c'est de l'imposture pure et simple. Très bientot les créanciers (n'importe lesquels) nous imposeront des taux d'intérêts très lourds et ce ne seront pas les sempiternels défilés de profs mécontents dans les rues des villes qui attendriront ceux qui accepteront de nous prèter, même au taux fort. Le temps de bisounours est passé, de même que celui des poires.