vendredi, mai 10, 2019

Jour de dépassement. Faut-il se restreindre pour sauver la planète? cad. la civilisation!

 Certains écologistes sont partisans d'une limitation drastique   des vols, imaginant même qu'un certain nombre serait attribué par tirage   au sort. Certains ont déjà décidé de se passer de viande, de ne plus voyager   en avion ou de ne pas avoir d'enfant. Si on veut que le monde soit   encore « respirable » dans trente ans, faut-il obliger l'ensemble des   citoyens à suivre leur exemple ? Le débat est ouvert.
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3 commentaires:

Unknown a dit…

Petit impair sur le titre. Sauver la planète n'est pas sauver la civilisation. La nature nous survivra, pas sous la forme dont nous la connaissons mais elle a une capacité de résilience que l'homme n'a simplement pas et n'aura jamais.
Pour éviter que l'on soit notre propre fin, il faudrait pouvoir identifier quelle population maximum est acceptable pour quel niveau technologique. Comme vu ensemble les scientifique et leur modèles de données ont quasi une 10aine d'années de retard, ce qui me fais penser que le sauvetage de l'homme ne se fera pas par les systèmes d'alertes existants : trop peux réactifs.
Une prise de conscience collective soudaine ? Je le souhaite mais n'y crois pas, trop de paresse intellectuelle, trop d'intérêts personnels à faire valoir, trop d'individualisme, de guerre de nombrils.
Je pense que c'est la nature elle-même qui va nous recadrer, ou tout du moins ce que nous faisons de la nature. A défricher, creuser, construire comme des imbéciles nous créons un climat néfaste a notre bienêtre et favorable à nous nuire.
Mais ce n'est qu'une voie parmi tant d'autres, nous pourrions imaginer tant de choses... Pour ceux qui ne connaissent pas je vous propose de vous perdre dans ce que certains ont déjà imaginés ou de créer votre propre scénario : http://www.arbredespossibles.com/

pratclif a dit…

bien d'accord avec ça; la planète ne cesse de changer; rien n'est jamais stable! dérives des continents, succession de périodes glacaires froides et interglacières chaudes...; la vie s'adapte. Nos énormes connaissances développées depuis 100 ans par les techniques et l'échange accéléré, sur la base de connaissances scientifiques acquises depuis 300 ans, nous permettent mieux observer et de mesurer l'évolution des choses... et pour mieux comprendre on cherche à saisir l'évolution depuis le passé lointain. 1000 ans Leroy Ladurie... puis 500000 ans les carottes glaciaires... Le climat et l'environnement ont toujours changé et les espèces vivantes se sont adaptées en mutant et en migrant. Notre problème est que nous sommes devenus une cause des changements de climat et de l'environnement. Une cause qui accélère les changements et rend l'adaptation plus difficile voire impossible. Simple réflexion....

Anonyme a dit…

Les joyeux drilles qui manifestent en Europe et USA pour ne plus faire d'enfants afin de "sauver la planète" se trompent de continent et, oserais-je l'écrire, de type de population. Leurs recommandations devraient s'adresser en priorité à ceux qui, précisément, lapinent à l'excès - tout en reprochant aux autres de ne pas prendre soins de leurs progéniture- Combien d'enfants par femme en Europe -en comptant la production d'origine exogène- ? Combien ailleurs? Vous avez tout compris. Tournez vos yeux vers le sud profond.