Il s'agit de l'opposition entre sociétés inclusives et sociétés extractives ou prédatrices. Voici une traduction (très partielle!!!) pour ceux qui ne connaissent pas la langue de Shakespeare.
Les sociétés inclusives sont des sociétés où tous les individus participent par leurs activités, au bien-être de tous, dans le respect des institutions, de l'état de droit, et de leur droit à bénéficier du juste fruit de leur travail, sans que des inégalités criantes se produisent.
Les sociétés prédatrices sont celles où des élites s'accaparent les fruits du travail des individus pour leur propre bien-être et enrichissement et créent des inégalités criantes.
On ne peut pas organiser la société de manière administrative via des élus locaux selon une charte dictée par une idéologie. Cela fut dit par JY.Huet lors de cette réunion de févier 2020 mentionnée dans l'article. Le rôle des élus est d'administrer leurs communes selon les règles institutionnelles, de faire des investissements qui améliorent le bien-être de tous. A ce titre la remarque de Camille Bouge sur son écoute des associations me paraît pertinente. Et concernant le travail de chacun pour le bien commun, la remarque de Bruno Bazire en fin d'article, qui se dit submergé par les demandes d'architecture, me semble confirmer mon propos. Les réunions publiques d'associations sont des occasions d'échanges d'idées sur le fonctionnenemnt de notre société qui permettent de faire évoluer les comportements et la vision que chacun a des choses. C'est en cela que Camille Bouge a rasion de dire "des idées intéressantes" et que René Bouchard a eu raison, pour sa part, d'accepter la charte proposée par "Demain pays de Fayence "... des postures individuelles.
Voir tous les billets de la rubrique "demain pays de Fayence"
1 commentaire:
Bonjour.
Suite à cette démarche Patrick PADILLA et Claire Le BUZULIER se présentent aux élections départementales de juin 2021 sur le canton de Roquebrune / Pays de Fayence
Enregistrer un commentaire