Après l'épisode de l'Unadel qui en est resté aux constats, suivi de tables rondes où sont apparus tous les manques de connaissances du territoire, je reviens sur une étude qui date de 2006 par la SAFER et que j'avais publiée. "Définir un projet pour notre territoire"
On peut faire toutes les réunions publiques, mettre en place toutes les mesures coercitives possibles et imaginables, planifier et organiser le territoire, zoner et protéger. Si ces dispositifs ne sont pas au service d'un véritable projet de territoire, ils seront inutiles et contournés. En réalité, il appartient aux habitants de préciser leurs souhaits en matière de cadre de vie, d'activités environnantes, d'utilisation des espaces. Sur ces bases, il est possible de prévoir une affectation des espaces et surtout de créer un consensus sur cette répartition. C'est à partir de la convergence des intérêts particuliers et de l'accord de tous sur des objectifs communs qu'il est possible de gérer un territoire donné. Suite... http://paysdefayence.free.fr/findespaysages.htm
2 commentaires:
A quoi on servi les nombreuses etudes SCOT...vu le résultat on pourrait avancer des adjectifs peu élogieux...qu'on fait ces élus..ces fonctionnaires urbanisme de la comcom..ces bureaux d études si ce n'est brasser du vent..
Après l'ambassade de l'eau, voilà celle du vent.
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