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3 commentaires:
les donateurs pauvres ne font pas nécessairement des dons d'argent et en ce sens, ils ne sont pas recensés. Mais ils donnent toujours d'avantage que les riches. Question d'empathie naturelle... Pour s'en assurer, il suffit d'organiser une collecte de nourriture devant un grand magasin... Ce sont les pauvres qui offrent le plus.
c'est logique, on ne peut bien faire que ce que l'on connait ... c'est comme dans le domaine des compétences , mais ce n'est pas pour celà que c'est "normal" bien au contraire !
Non, et c'est bien pour cela aussi qu'existe l'impôt, la charité ne suffit pas.
Demeure que nous ne savons pas comment est réparti cet impôt pour la solidarité ? Une grande part est attribuée au fonctionnement de structures qui ont pour mission de gérer la solidarité mais combien de ces structures comptent une majorité de salariés à la compassion pour l'autre ? L'homme est ce qu'il est. Capable du meilleur comme du pire... La charité du plus grand nombre est donc encore nécessaire et ce n'est certes pas "normal" que ce soient les plus pauvres qui contribuent le plus à celle ci. Que faire alors, augmenter l'impôt ? En ce qui concerne la solidarité, cela ne résoudrait en rien le problème de trop nombreux (mais non majoritaires) structures du Social qui aujourd'hui, je le déplore, pensent d'avantage au chèque de fin de mois de leurs salariés quand ces salariés (très nombreux mais non majoritaires) pensent aux nouvelles frusques, à la futur DCI et aux prochaines vacances… qu'à tendre vraiment la main à l'autre, principe qui fonde il me semble les métiers du social .
Culture de l'indifférence et de l'individualisme oblige.. il n'y a qu'à regarder autour de soi pour s'en convaincre. Prenons l’exemple plus flagrant des casseurs de grève qui mettent à mal une revendication collective avec pour seul objectif une motivation personnelle qui est très souvent, je le conçois, leur propre survie... (règleront nous mieux et plus vite des problématiques communes en agissant seul ou en collectivité ? La est une question qui ne se pose pourtant pas…
Ce constat est celui qui m’a conduit à militer voici une quinzaine d’années pour le revenu garanti pour tous, façon de rendre à César ce qui est à César puisque ce revenu serait en grande partie financé par la décroissance des administrations qui ont à charge de gérer la solidarité (retraites, diverses allocs, bourses)...
Le revenu de solidarité active du père Hirch est peut être un pas vers ce revenu d'existence pour tous raison pour laquelle j'y adhère, mais que ce pas soit vite franchi, car pour l’instant, seuls les pauvres (encore eux) vont le financer… (chômeurs, smicards…).
A l'heure de la décroissance dans nos pays trop industrialisés, à l'heure du développement durable, A l’heure où il nous faut vivre plus en harmonie avec notre temps, avec notre activité, avec notre environnement…le revenu garanti pour tous se dresse devant nous comme une solution alternative de survie dans ce monde que sera nécessairement celui de demain si nous ne souhaitons pas que notre terre ressemble plus rapidement que prévu à Mars ou Jupiter..
Je ne suis pas économiste, ne me demandez pas Irène comment financer l'autre partie de ce revenu d'existence (autrement que par les économies réalisées par la suppression d'administrations qui gèrent la misère au profit d’une seule qui gérerait la revenu garanti )...
Bien sur, nous allons sursauter en découvrant le mot survie dans ce texte. Ne méritons nous pas de vivre et non de survivre ? Ce mot me semble pourtant approprié au monde dans lequel nous évoluerons demain. A moins que nous préférions celui de MAD MAX. Vu le prix du carburant, vu le prix pour s'alimenter, vu le détournement de camions citernes et les cambriolages de magasins d’alimentation, je crains que le second ai déjà pris le pas sur le premier. Et vite le revenu garanti d’existence pour tous pour espérer sortir de l’impasse.
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