dimanche, novembre 01, 2015

Reformes: cantonales, départementales, regionales.

Le mille feuilles persiste et s'aggrave pour le plus grand bien de l'état et de ses serviteurs.
La réforme des cantons a divisé le nombre de cantons par deux sur une base de populations devant être sensiblement égales à la moyenne départementale, instituant des binômes homme/femme, modifiant le nom des conseils généraux en conseils départementaux et modifiant les compétences. C'est une réforme à la française qui en fait ne change rien au tissu administratif, ni au nombre d'élus, ni aux coûts de fonctionnement.  Suite...

6 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour,

j'ai posté un commentaire sur cet article
Est-il resté coincé dans les tuyaux ?

pratclif a dit…

Je n'ai pas vu de commentaire. Vous avez du le mettre dans un mauvais tuyau. Dommage.

Anonyme a dit…

Effectivement un tuyau percé sans doute
je vous disais simplement partagé votre analyse mais aussi que cela ne changera que si la société et les citoyens souhaitent vraiment une évolution.
En effet , notre classe politique actuelle tout confondue ne veut certainement pas changer un système dont elle se nourrit et qui lui permet d'exister.
Et non pas pour sa bonne gestion du pays.
La réduction des couches administratives même sur la durée et par étape fait peur aux élus et fonctionnaires.
Quel dommage car cela crée un blocage total de notre économie, en plus de nombreuses inégalités entre public et privé.
Il manque de courage politique en France car la plupart des français sont prêts à un tel changement.

pratclif a dit…

Merci. Justement! je découvre ceci ce matin et voyez ce que j'ai écrit sur mon blog [lien] Le widget de traduction est là si vous avez besoin. C'est de la traduction automatique, donc ne permet que de comprendre qu'à peu près. Je m'en sers pour traduite de l'Allemand, du Russe, de l'arabe ou du Chinois.

Anonyme a dit…

Marion les... peinés...

Anonyme a dit…

Bravo pour la propagande de Estrosi . "La moins pire ..." sous-entendu : les autres c'est l'enfer comme disait le propagandiste du PC de l'époque. Il ne vous reste plus qu'à vous allier à Tosan et son front de gauche. Mais alors cessez de pleurer sur "votre pays" et acceptez le désastre.