samedi, août 25, 2007

Communauté de communes du pays de Fayence

La communauté de communes du pays de Fayence prend ses marques dit le président Jean Pierre Bottero. Suivre le lien titre.
Cela suscite chez moi les réflexions suivantes.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Vous citez dans votre étude sur les spécificités de nos communes, l'idée de mettre en place une navette sur Fayence (électrique est une bonne idée) entre le haut et le bas du village, pour permettre l'approvisionnement ... vers Super U je pense ? celà ne risquerait il pas d'être au détriment des quelques commerces alimentaires du haut du village ? (boucherie, boulangerie et ... marchés ?) Nous avons justement la chance d'avoir encore une attractivité commerciale au coeur du village ...
par contre, il est plus qu'urgent de mettre en place un réseau de transports en communs inter-villages ! comment font nos chères têtes blondes qui veulent pratiquer une activité si un adulte n'est pas disponnible pour les véhiculer ? Comment font nos anciens ou les personnes qui ne peuvent avoir de voiture, pour aller d'une commune à l'autre : l'EREF par exemple, ou toute autre démarche ou course à faire ?
Je signale en passant, que ce projet a déjà été suggéré et étudié lors des "états généraux du canton" auxquels j'ai pu participer, il y a plus de 3 ans ... et .... rien à l'horizon ... il est plus qu'URGENT de mettre en place une politique sociale au niveau intercommunal, et les moyens de transports en font partie !

Anonyme a dit…

Votre site et votre blogs sont plus que pertinents ! nous avons besoin de gens comme vous dans nos équipes d'élus ! (je sais, je l'ai déjà dit ..... )

pratclif a dit…

J'ai eu cette idée de navette car la commune de Fayence est celle qui présente le plus de continuité entre les activités du haut jusqu'en bas; l'offre commerciale est diverse, presque complète. Parcourir Fayence le long de l'Avenue Robert Fabre n'est guère possible à pied. Une navette, au moins l'été, serait utile à tout le monde, locaux comme visiteurs et touristes; on peut se garer en haut, et les premiers visités seraient les commerces du haut.

Anonyme a dit…

il devrait être évident à tous (et votre papier contient
l'information s'il n'en fait pas son essentiel) que le scot devra
constituer la charte de développement du canton qui comporte 3
éléments principaux:
-la plaine commune, elle supporte l'essentiel du développement
économique, commercial et de communication
-les 4 villages centraux, ils doivent absolument préserver leurs
sites et les vues sur ces sites (voir l'affaire weldom, un raté de
callian)
-les villages périphériques plus éloignés et dont l'association est
moins urgente compte tenu d'une pression moins forte

ce qui n'est pas exprimé, et probablement pas entré encore dans les
têtes des élus connus, c'est la nécessité impérative de réfléchir sur
cet espace global et non plus village par village... aucun d'ailleurs
ne communique sur ces sujets, le papier intercommunalité de botéro
est le 1° à ma connaissance et d'une prudence de sioux.

reste donc à faire ce scot et à associer autant que possible la
population à cette réflexion, pas gagné à ce jour, même les
oppositions communales semblent exclues par les majorités de la
démarche et les articles grand public ne sont pas au rendez vous, à 6
mois des municipales...

pour ma part je pense qu'il faut quasi sanctuariser les villages (pas
de préoccupations de développement dans leurs périmètres, de
l'entretien et de l'optimisation sociale) et tirer les conséquences
de l'urbanisation déjà irréversible de la plaine en passant là du
sauvage au coordonné efficace.

pour faire le lien avec le pos de fayence, j'ai le sentiment que la
concentration des surfaces à bâtir sur 2 zac dans le périmètre nord a
été une erreur importée de toulon (esprit "urbain" de la loi sru mal
adapté à notre cadre ), l'habitat correspondant doit se concentrer
dans la plaine (sur un quelconque territoire cantonal) et les zones
sorties de constructibilité par le pos 2001 à partir du pos 91 se
voir rétablies sauf bonnes raisons (risques, eau, coût des dessertes,
paysages) pour un habitat individuel de faible densité (5 à 10000m2
par unité) sur ces surfaces globales limitées.

en conclusion d'un non spécialiste, nos politiques ont un travail
commun urgent à faire dans la clarté et le cadre de la loi sru, soit
le scot "cohérent" et non une lecture commune par commune biaisée et
paralysante de cette loi générale.

amitiés