mercredi, janvier 23, 2019

Elections municipales 2020. Une alternative à Seillans se met en piste

Une alternative à l'équipe municipale actuelle se met en place pour les futures élections en 2020 via un magazine d'information dont le N°1 paraît en février 2019 (1). Une publication annoncée à 2500 exemplaires tous les mois jusqu'en mars 2020! C'est une annonce faite dans ce magazine  (extrait).  Mais René Ugo a d'ores et déjà annoncé qu'il sera candidat à sa ré élection.  Cette initiative est animée par Loïs Faur (6); elle se veut indépendante et participative, une construction à venir dans l'année 2019.

Le N°1 informe d'abord  sur les finances de la commune de Seillans  sous le titre "comptabilité et gestion de la commune de Callian" pages 6-10. Le magazine s'étend ensuite sur des propositions au nombre de 13, le programme LIEN..  Je suppose que ce  programme (pages 11-16) est proposé au débat à venir:  concertation et  élaboration d'un consensus, en vue de se présenter aux élections 2020 et  gagner.

Les 13 points développés du programme sont tous intéressants dans le climat actuel; les initiateurs  se veulent apolitiques, ne voulant s'affilier à aucun parti et ne voulant pas briguer la présidence de l'intercommunalité. Pré carré Seillans Brovès?
  1. Magazine N°1 le journal de Seillans et de Brovès
  2. L'initiative se veut l'alternative à René Ugo
  3. Les 13 points du programme
  4. Les 13 propositions  en détail.
  5. Seillans et à Brovès page Facebook
  6. Ferme des Cairns à Seillans: élevage de chèvres anglo-nubiennes et fromage de chèvre Loïs et Fanny Faur

1 commentaire:

pratclif a dit…

Comme souvent, l’exemple vient du nord de l’Europe. La Lettonie expérimente depuis 2010 la plateforme en ligne ManaBalss (“Ma voix”). Celle-ci offre aux citoyens la possibilité de faire des propositions, qui, si elles rencontrent suffisamment d’adhésion, peuvent être ensuite examinées par le Parlement : le dispositif a déjà permis l’adoption de 25 textes législatifs (une douzaine sont en discussion). La Finlande, de son côté, s’est dotée, avec le Citizens Initiative Act, d’un système à peu près comparable.
Ni gadgets ni révolutionnaires, ces projets offrent de vrais débouchés aux idées venant du terrain : de quoi rendre plus utiles les débats de nos sociétés. À condition toutefois de surmonter deux obstacles. Pour être crédible, la démocratie numérique doit imposer la transparence, afin de vérifier l’authenticité des pétitions et d’éviter les fausses signatures. Et pour respecter l’égalité entre tous les citoyens, elle doit aussi éliminer la fracture numérique (en France, un demi-million de foyers sont exclus de l’accès à Internet). Bon marché, efficace et visant un large public, comme le rappelle l’experte Elisa Lironi*, la démocratie numérique devrait demain faire partie de la boîte à outils de tous les gouvernements en quête de lien avec le peuple.
par Eric Chol Courier international