lundi, avril 13, 2020

Enquête U.E.P.F / Impact du covid-19 sur les acteurs économiques du Pays de Fayence

Le covid-19 aura inéluctablement un impact sur l’activité économique: baisse du chiffre d’affaires, recours au chômage partiel d’une façon massive, impact sur la trésorerie, baisse de la fréquentation clientèle… L’objectif de ce questionnaire de l'Union économique du pays de Fayence  est d’évaluer l’impact général de cette situation inédite du covid-19 sur le territoire local.  Accéder au questionnaire enquête de l'UEPF.

3 commentaires:

pratclif a dit…

Bercy table sur une baisse du PIB de l’ordre de 6 % en 2020: y aura-t-il un rebond en V de 6 % en 2021 ou bien la reprise sera-t-elle en U cad. un retour beaucoup plus étalé dans le temps? Le retour à la situation pré-crise prendra du temps car une partie de la demande finale est perdue: dans les services (hotels, cafés, restaurants), les transports (livraisons, déplacements automobile des particuliers, transports aériens)...

La première question qui sous-tend ces scénarios est s'il y aura ou non une reprise économique soutenue une fois le confinement levé. La condition pour cela est que les entreprises, tout particulièrement les petites, traversent la crise sans faire faillite, alors que leur chiffre d’affaires plonge, que leurs dettes et leurs charges fixes continuent et s’accumulent et qu’elles ne sont pas sûres que leurs clients reviendront (*). Sous cet angle, les mesures décidées par le gouvernement (report d’impôts et de charges, indemnisation du chômage partiel, garanties bancaires, etc... ) et qu’on peut résumer par "pas de faillites", sont les bonnes. Encore faut-il qu’elles soient mises en œuvre sans délais et sans obstacles ni freinages bureaucratiques. Face à cela, le risque est que beaucoup de petites entreprises préféreront cesser leur activité.

(*) La deuxième question est la suivante: est ce que cette crise ne va modifier les modes de vie des consommateurs; leurs modes de consommation; en les amenant à plus de frugalité, moins d'investissements dans les équipements durables; plus de consommation locale, ce qui incitera à des transformations du tissu productif. Si ces changements de comportements se faisaient, ils contribueraient aussi aux cessations d'activités.

Enfin, il n'est pas exclu que des mesures fiscales ou l'inflation viennent affecter le pouvoir d'achat des classes moyennes.

Anonyme a dit…

Après intervention du président ce soir ,
une certitude...
LA VERITABLE CRISE EST DEVANT NOUS!!

Anonyme a dit…

Bonjour,

Le confinement empeche un scénario en V
il n'a pour but que d'étaler dans le temps les contaminations afin de ne pas saturer nos URGENCES
Mais comme il évite la contamination générale, il ne peut y avoir que des 2ème, 3ème, 4ème .... vagues
Donc, soit nos chercheurs trouvent un vacin (pour le VIH cela fait 40ans et on ne l'a toujours pas, ni pour EBOLA) soit nous arrivons à avoir 60% de la population qui s'imunise et alors on pourra revivre normalement (j'ai pas dit comme avant) et il y aura encore beaucoup de drame.
Nous sommes à ce jour à environ 15000 décés, dans 6 mois nous serons au double
Il y aura un avant et un aprés, cela veut dire quoi ?
Tout va couter plus cher (production locale avec moindre concurence)
prise en compte trés forte de l'écologie, et retour de quelques industrie en FRANCE et exportation moindre puisque tout le monde fera pareil
Et ce n'est pas en faisant payer les riches qui ne seront plus aussi riches que les pauvres deviendront moins pauvres
Comme pour les virus, nous ne sommes pas tous égaux !!!!!
LE RENOUVEAU EST DEVANT NOUS