Certes nous sommes épargnés en pays de Fayence, à cause de notre alimentation en eaux sourterraines d'origine karstique des sources de la Siagnole. Les pluies abondantes de printemps ont alimenté abondamment notre réservoir. Mais en France avec le changement climatique, les sécheresses deviennent plus fréquentes et plus sévères, imposant des restrictions d'eau.
Voir le site du ministère de l'écologie et du développement durable Propluvia
La
sécheresse peut résulter d'un manque de pluie. Elle survient lorsque la
quantité de pluie est nettement inférieure aux normales saisonnières et
cela, sur une assez longue période. Lorsque le manque de pluie survient
en hiver ou au printemps, il empêche le bon remplissage des nappes
phréatiques (« réserves » d'eau) qui s'effectue à cette période de
l'année. Au delà du mois d'avril, l'eau de pluie est essentiellement
absorbée par les plantes, en pleine croissance, ou s'évapore à cause de
la chaleur. La sécheresse peut être accentuée par des températures
élevées, notamment en été qui provoquent un assèchement des sols et
l'évaporation plus importante de l'eau disponible. Le manque d'eau peut
donc apparaître à tous moments dans l'année.
Les niveaux d'eau disponibles
sont mesurés en permanence dans des stations de mesures automatisées qui
alimentent les bases de données spécialisées. Lorsque des seuils
préalablement définis sont dépassés, les préfets peuvent prendre des
mesures de limitation ou de suspension des usages de l'eau.
Tous les mois, un « bulletin de situation hydrologique
» est publié dans chaque région ou bassin par les directions régionales
de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL) et au
niveau national par un comité de rédaction composé des différents
contributeurs du bulletin (producteurs et gestionnaires de données),
animé par l'Office International de l'Eau (OIEau), en lien avec l'Agence
française pour la biodiversité (AFB) et la direction de l'eau et de la
biodiversité du ministère de la Transition écologique et solidaire.
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