samedi, août 20, 2011

Prix de l'immobilier en pays de Fayence

Prix de l'immobilier en pays de Fayence.
NB: le site part de Callian; mais vous pouvez passer d'une commune à l'autre en naviguant sur la carte.

Et lire ce billet du blog d'Olivier Berruyer (cliquer). C'est une absurdité que la hausse des prix de l'immobilier soit supérieure à la croissance économique, surtout en temps de crise...

10 commentaires:

Anonyme a dit…
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Anonyme a dit…

Mes SAGES suppriment ce qui peut fâcher... ce qui peut... mais continuez ainsi l'indignation monte chaque jour, un peu plus, c'est bizare, mais sans
détenir une quelconque vérité, les indignés se rejoindront prochainement.
YANN AHMARE.

Anonyme a dit…

Même si certains rêvent tout évéillés en considérant l'immense valeur de leur minable bien immobilier - toujours a vendre, mais jamais vendu- il ne faut pas se faire trop d'illusions. Le temps est bien terminé des plus values fantastiques sur des saletés. De plus le morcellement continuel des terrains avec les conséquences que cela implique rendent de moins en moins attractifs les terrains et villas que les idiots pensent pouvoir vendre au prix de l'or (au cours actuel, c'est très bien) a de très riches étrangers.Ces crétins ne peuvent même pas imaginer que pour un - très - riche, il est bien plus agréable de faire une heure d'avion de plus pour aller sur la cote croate que ses habitants ont eu la sagesse de préserver de ce véritable foutoir qu'est en train de devenir le Canton de Fayence. Continuez comme cela et vous aurez le sort des "grandes banlieues" de métropoles régionales, avec tout ce qui va avec (je connais, je l'ai vécu). Pour le coup, bonsoir le cinéma du "voulem vivre al pays". Et ce ne sera qu'un juste retour des choses pour les héritiers de ce que mr. Ratcliff appelle un "ancien propriétaire voulant optimiser" c'est a dire ponctionner a mort les pigeons . Ses enfants, même héritiers, vivront dans la m..ee, eux aussi. Et ce ne sera que justice. Bande de rats !

Coroller jean a dit…

Je comprends la rage d'Anonyme. Mais cela ne permet pas de résister. Pour résister à l'urbanisation horizontale financière (un des domaines de l'économie financière), il faut promouvoir une alternative. Cette alternative ne peut être qu'une urbanisation verticale logique, avec une sobriété energétique, avec une agriculture urbaine et peri-urbaine recyclant l'eau et les déchets, avec des transports de proximité verticaux et des transports inter-urbains à grande vitesse...
Une telle vision implique, entr'autres:
-d'interdire de construire sur des terrains agricoless
-d'imposer de construire en hauteur, avec des voies de circulation rapides et enterrées
-de ne pas perdre de l'argent dans des usines à merde et des incinérateurs.
L'urbanisation actuelle rend fou (ou enragé...) parce qu'elle n'obéit à aucune logique humaine.
En attendant la mise en place d'un conservatoires agricole, sanctuarisant les terrains agricoles urbains ou péri-urbains (combinant nue-propriété publique et exploitation privée, comme le fait le conservatoire du littoral), chaque pouce de terrain agricole doit être défendu. Pour cette raison les chevaux de bobos sont les bienvenus...à conditions de réutiliser le fumier, de produire du fourrage sur place et de ne pas induire de pollutions (odeurs? mouches? nitrate dans les eaux souterraines?).

pratclif a dit…

L'ironie de l'affaire c'est la relation avec la crise actuelle annoncée par les Cassandres de tous poils depuis Malthus, le club de Rome, les ATTAC, les économistes atterrés, le cercle des économistes, l'OFCE... etc... crise toujours retardée. Les évènements actuels nous laissent pantois car on ne sait manifestement pas quoi faire pour le moment!
En 2008, on pouvait mettre fin aux excès du système financier, créateur de monnaie virtuelle en abondance - pas seulement les subprimes américains - et consacrée à l'économie casino... On ne l'a pas fait et début 2009 on criait "la crise est derrière nous". Nous voilà au début du "double dip" (lien). Compte tenu des déséquilibres de ce pays de Fayence, la crise ne nous épargnera pas, notamment les moins favorisés. L'immobilier est calme disent les agences! Mais concernant le prix d'un terrain, l'État connait les prix de marché - grâce au fichier des notaires; donc gare à l'impôt sur la fortune pour les propriétaires de terrains bien situés et chers; gare aussi aux bénéficiaires de donations de tels terrains par leurs parents; les droits à payer sont élevés et le donataire n'a pas toujours les moyens de payer ces droits... sauf à construire lui-même et emprunter pour la totalité, droits de succession compris... Nous sommes dans une drôle de situation!

Anonyme a dit…

Aucune attaque orienté Cher Monsieur Pierre Racliff,alors qu'en réponse vous n'y allez pas de main morte en mettant les points sur les "i"- là bravo.
Se poser des questions,avoir des réflexions sur des sujets divers (même d'été..) à la maison, souvent certes, quant mémère blogeuse sans le savoir, envoie un "tu me les casses pépéres" quant on en vient a répépiller. Alors saisissant le clavier (pas christian pour l'instant), d'un doigt fébrile qui reste bien "sage" en faisant marcher sa mémoire qui flanche parfois je me souviens comment avec des tableaux on peut échapper au pire, par l'opération
d'un romain, nommé Fabius, qui avait évité un ISF sur des oeuvres d'art. aINSI PAR EFFET DE RICOCHET, une riche héritière peut sortir un serviteur de
l'embarras, tandis qu'aujourd'hui on nous rabat les oreilles sur une justice fiscale, de la bouche même d'une élue qui avait eu du mal avec ce sigle ISF. Ouais, simple réflexion, car malgré tout, malgré la crise, les belles choses gardent une certaine valeur. Les flêches sont restées à la cave car elles n'atteindront pas les "durs à cuire", ceux qui viennent nous expliquer
qu'à la suite d'un voyage d'étude chez son ami ARISTIDE, est maintenant convaincu que nous n'avons pas à nous plaindre. Sur le moment, sûr, je n'y ai vu que du feu, mais maintenant avec toutes ces agitations avec une bannière verte, je comprend mieux l'intérêt de nous la faire rabaisser.
AVANT LA CHANCE D'AVOIR UNE D.D.E ou D.D.A de proximité n'était pas appréciée a sa juste valeur. Aujourd'hui, EUREKA, nous avons CITADIA !A l'époque société privée montée pour des études sur les H.L.M... non ? ah bon. Maintenant, c'est bien, la FRANCE entière se tourne vers CITADIA...
donc, une réflexion toute bête, un pan social encore PRIVATISE.Poussant encore plus loin la réflexion, le personnel qualifié des directions départementales a cinquante ans oû se trouve-t-il recyclé ??? Il est possible de vivre béatement, car pris en charge par une société bienveillante, je suis le plus heureux du monde, pourtant à la naissance je fus atteint d'une maladie orpheline : aimer traire les mouches avec des gants de boxe... alors vous voyez, impossible d'orienter des attaques quelconques
car à force on PERD LE NORD. La dernière est souriante, le conseil municipal à l'unanimité à voté la vente d'un ancien terrain de foot datant des années 1940 à un groupe sérieux qui veulent en faire une beau stade de foot avec leurs deniers personnels... mais avec une condition (je crois), que la commune en garde L'ENTRETIEN.... avec en prime un terrain en herbe. Rien contre, mais gare aux impôts locaux, et verra t-on les gamins du canton
sur cette verte pelouse ??? AUCUNE ATTaQUE VOYEZ VOUS mais une simple question. Enfin à quant un référendum sur cette communauté de communes à quatorze ?? bref, avec mémère :
JEAN RIGOLE

Anonyme a dit…

info complémentaire du "provençal" ressucité : ce conseil municipal est celui de Tourrettes de Fayence. Dont acte.

Anonyme a dit…

Dans sa dernière parution, le bulletin -luxueux, elle en a les moyens semble t il, de la mairie de Tourrettes, on affirme que le manque de terrains disponibles aurait pour conséquence de faire monter le prix des rares terrains constructibles actuels. Bien voyons ! Comme si un propriétaire héritier, n'ayant jamais rien payé, ni rien fait d'une surface de cailloux, allait subitement accepter de la céder a aun prix raisonnable pour qu'un "travailleur" local puisse y construire sa demeure dans des conditions supportables. D'ou la nécessité d'accéléerer le PLU puisqu'hélas et contrairement aux illusions perdues, il n'est plus possible de bricoler des zones NB (qui ne coutaient rien aux vendeurs mais leur rapportait beaucoup, a tel point que la composition des conseils municipaux de certaines communes font sourire, tellement elles concentrent de propriétaires terriens soucieux de refourgueur au prix fort des surfaces sans réelle valeur exploitable, dont la compétence est loin d'être prouvée, mais dont l'intérêt, lui, ne fait pas de doute. Il faut vraiment etre naif ou de mauvaise fois pour sortir une telle imposture. En fait les responsables sont pressés de déclasser les zones en "U" puisqu'ils ne peuvent plus le faire en NB et de satisfaire ainsi leurs soutients, quand ce n'est pas leur propre intérêt. Quant a savoir comment et de quoi les "nouveaux" propriétaires acquéreurs de nouveaux morceaux achetés au prix fort pourront vivre, cela ne semble pas beaucoup les soucier, pourvu qu'ils ramassent le paquet a l'occasion des transactions.

pratclif a dit…

C'est bien là une découverte de ce processus de travail avec ces bureaux d'études engagés par les mairies; "à voulor être restrictifs, on craint de faire grimper davantage les prix des terrains". Mais c'est seulement un constat d'impuissance devant les forces du marché libre: les vendeurs qui veulent monétariser leur bien et les acheteurs intéressés se mettent d'accord sur un prix de transaction. Que peut faire une mairie en dehors d'acheter du foncier à prix élevé de marché en exerçant son droit de préemption, souvent cassé par la justice: lotir et vendre à perte et voir ensuite les acquéreurs revendre en faisant de confortables plus values (ce serait le cas au lotissement de la Colle Noire à Montauroux!)? La mairie ne peut agir que par le POS/PLU, les zonages et le règlement. C'est le seul moyen d'encadrer la propriété privée par le droit publique. Les prix monteront tant qu'il y aura des acheteurs capables de payer les prix offerts et de contracter du crédit bancaire; cela est lié à la politique de l'état et des banques d'offrir du crédit à des taux faibles et à longue durée.

Anonyme a dit…

hahahah, j'en rigole aussi. Pauvres naïfs.
Regardez ce qui se passe à Callian. ce zonage du PLU.
Les zones NB n'existent plus! Il n'y a que le nom qui change. En fait tous ses terrains sont en UB, même surface minimale pour construire... Il n'y a pas de grand changement... Les propriétaires de terrains de 2500 m2, ici où là peuvent dormir tranquille, le plu de Callian ne va que nuire à la verdure.
Dire qu'au dernier voeux le maire parlait d’augmenter la surface minimum des terrains constructibles pour pouvoir interdire toute ses constructions éparses! paroles et paroles et paroles...