Pages
- Accueil
- Informations sur ce blog
- mon blog
- Mines 2016
- Anglo-French
- Fils-rss
- Libéralisme quesaco?
- 8e-énergie
- Espace Sciences
- Institutions
- Sources
- France stratégie
- Manicore
- Alain Grandjean
- Adrastia
- Shift project
- Carbone 4
- Loïc Steffan
- Medium-economist
- TheConversation
- Momentum
- MrMondialisation
- Stats
- INSEE
- Europe UE
- Eurostat
- économistes atterrés
- Mon YouTube
- Olivier Ezratty
- Conversation
- Momentum
- DrPhysics
- La Story
- le vent se lève
- ThinkerView
- BP stats
- IEA/AIE
- BFM-Experts
- La démocratie continue
- Azur politiques
mercredi, février 07, 2018
Premier effort mondial pour empêcher le charançon rouge de détruire les palmiers
Les experts devraient adopter un plan d’action international visant à endiguer la progression du coléoptère destructeur
29 mars 2017, Rome - Un
petit charançon rouge détruisant les palmiers s'est rapidement répandu à
travers le monde et menace la production de dattes et de noix de coco,
si rien n'est fait pour l'en empêcher.... Lire la suite sur le site de la FAO
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
3 commentaires:
Le temps presse, il y a une telle pression du charançon et du papillon sur tous les palmiers que cette année est celle de la dernière chance. Toutes les communes et collectivités voisines sont concernées, y comprs nous! Le préfet du Var est intervenu. Il faut attaquer les traitements ce printemps pour éradiquer le charançon rouge du palmier. Voir l'arrêté préfectoral du 1/09/2017.
Pour qu'il y ait suppression totale , il faudrait que les personnes dans le domaine privé s'en occupe aussi !!
S'il n'y a pas amende rien ne se passe civiquement ,
malheureusement...
Le cout annuel d'un traitement vraiment sérieux et efficace dépasse souvent le prix d'un palmier. Sauf pour les administrations qui ne comptent pas les dépenses financées par l'impot, il y a peut de chances que tout le monde attaque le problème. De sorte que ça recommence. Il faut maintenant considérer le "palmier" comme un luxe, vu le cout de sont entretien : soit vous avez les moyens, soit vous oubliez. C'est aussi simple que cela. L'autre solution classique pour des particuliers, même frickés , c'est la "solidarité" : vous déclarez que vous n'avez pas les sous et demandez que les soins soient payés par la commune, autrement dit les couillons. Ca marche en partie pour l'ANC, pourquoi ne pas élargir l'expérience. Tous ensemble!
Enregistrer un commentaire