Ce graphique montre le parc par grandes périodes: avant 1970, 1971-1990 (la période des 30 glorieuses), et depuis 1991. On voit que c'est Montauroux la commune où la tendance évoquée dans le billet précédent depuis 1991 a été la plus forte.
On peut penser que les logements datant d'avant 1970 sont dans les villages et ceux d'après 1970 dans la périphérie. En rapprochant cela du nombre d'habitants en 2018 et en calculant les nombre d'habitants par logement, j'arrive à ce graphique. C'est Montauroux la commune la plus tendue.
Le parc de logements et les prix des transactions, sont le reflet de l'attractivité du territoire. Les prix du marché, le nombre d'agences immobilières, les ventes de logements anciens et neufs par les promoteurs immobiliers reflètent la dynamique du secteur. Evidemment, la situation, la vue, l'environnement sont les facteurs déterminants. Les prix sont évidemment plus faibles que sur la côte, ce qui détermine la population qui s'installe. Voir Stéphane Plaza.
Et ici la qualité et l'évolution du parc logements en pays de Fayence:
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