Affichage des articles dont le libellé est crise. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est crise. Afficher tous les articles

vendredi, avril 14, 2023

Démocratie et République - Telos

En principe, nous sommes en démocratie, c’est-à-dire en débat permanent sur nos affaires communes, et en République, c’est-à-dire doté d’un gouvernement qui prend des décisions et les fait appliquer selon l’idée qu’il se fait de l’intérêt général. On évite ainsi que le débat permanent paralyse l’action publique et que le caractère républicain ne tombe dans une autorité sans limites. Quand la décision est prise, elle est administrée ; cependant le débat est toujours ouvert, il est toujours permis de dire et de publier que le choix était mauvais, qu’on n’a pas pris en compte tel ou tel élément, ou qu’il faut refaire la décision...  
Suite via Telos. 

mercredi, octobre 12, 2022

Communes. Les finances dans le rouge (suite)

Les maires varois se sont réunis à Draguignan pour échanger sur leurs difficultés du moment. Principale inquiétude : la hausse du prix de l'énergie. "Sans aide. on ne s'en sortira pas." - C'est « le cri d'alarme lancé par Christian Simon (La Crau), en sortie de conseil d'administration de l'Association des Maires du Var. Un constat également porté par le président Hubert Falco (Toulon). Début septembre, celui-ci avait déjà écrit un courrier à la première ministre Elisabeth Borne, dans laquelle il pointait la situation préoccupation des collectivités territoriales - fortement impactées par l'inflation et l'explosion du coû de l'énergie - liée à la guerre en Ukraine. Suite via Var Matin

jeudi, octobre 06, 2022

La crise qui vient inquiète Montauroux

Champion attractif de l'urbanisation sur notre territoire, Montauroux se montre inquiet de la hausse du prix de l'énergie et des matières premières. Retournement de conjoncture!   Suite Var Matin...

La récession qui s'annonce affectera forcément notre territoire en raison de ses fragilités structurelles  comme le montre le récent débat sur les 13 zones d'activité économique, la circulation fortement perturbée sur la RD562, la dispersion des zones commerciales etc... Sur le retournement de conjoncture, voir ici cet article "le retournement de conjoncture est certain et sera violent"

mardi, septembre 27, 2022

Economies d'énergie cet hiver. Quid de l'éclairage nocturne?


Énergie : « Les collectivités •doivent être exemplaires »

Comment les collectivités s'adaptent-elles à la hausse du prix de l'énergie? Michel Gros, président des maires ruraux du Var, donne des pistes pour diminuer la consommation. Suite..


samedi, mars 19, 2022

Maison médicale à Montauroux: bientôt l'ouverture.

 La maison médicale et de services ouvrira bientôt ses portes. En 2022, la Ville y investira près de 757 000 euros afin d'achever les travaux.

La taxe foncière augmentera  de 3,4 % a annoncé le maire,  rappelant que  l'effort fiscal (cf. 1) est un indicateur qui mesure la pression fiscale que la commune exerce sur ses administrés.

lundi, juin 15, 2020

Macron = Macreux en route pour 2022 par Daniel Schneiderman


Erreur professionnelle fatale : achevant un WhatsApp familial, j'ai raté les deux premières minutes de l'allocution de Macron. Insouciant, je m'octroyais une tolérance d'une bonne dizaine de minutes. C'est le temps de chauffe habituel, le temps de brasse coulée introductive dans la stratosphère, avant les annonces enrobées, qu'Edouard Philippe traduira en actes le lendemain. Erreur fatale : cette fois, tout était dans les deux premières minutes. Tout, je veux dire : la rentrée scolaire obligatoire du 22 juin, et la réouverture des restaus. J'étais bien marri.
Je n'ai donc eu droit qu'à dix-sept minutes de plan fixe dans les dorures avec, juste derrière, sur BFM, le journaliste officiel Duhamel, qui paraphrase les interventions royales depuis six présidents (si si, comptez : Giscard, Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande, Macron). N'empêche. Le chroniqueur devant toujours avoir une opinion sur tout, si une chaîne d'info sollicitait mon commentaire sur le Macron réinventé, je serais loin d'être sec : il a fait plus court, et condensé au début. En progrès.
Et le reste ? Et le fond ? me demanderait-on sans doute. Il faudrait résister à cette question, et expliquer pourquoi. Cette entité nommée par les médias "le chef de l'Etat" n'a manifestement aucune pensée, ni aucune marge d'action, sur le cours de l'Histoire. Aucune pensée sur les violences policières, aucune pensée sur le privilège blanc, pas de connaissances médicales particulières, aucune connaissance sur la souffrance au travail, aucun ressenti véritable du péril climatique, et bien moins de marge de manoeuvre que la BCE. Les mots qui sortent de cette bouche sont la résultante de l'affrontement de forces qui la dépassent (sommations patronales ou médicales, manifestations anti-racistes ou policières, exigences de la finance internationale).
 Tout au plus cette résultante peut-elle s'analyser en creux, dans les omissions  du discours. Pas un mot sur les manifestants contre les violences policières. Pas un mot sur la censure, par le Conseil d'Etat, de l'interdiction générale de manifester. Pas un mot sur les profs. Et surtout, absence de totale de questions et de contradiction, comme le remarquait ce matin, sur France Inter, mon nouveau collègue Thomas Piketty, qui n'a fait qu'une bouchée du : "il n'y aura pas d'augmentation d'impôt". Pas d'augmentation ? Mais ils ont déjà augmenté, pardi, du fait du prolongement pour dix ans, acté le 22 mai dernier, de la CRDS (cet impôt de 0,5% sur tous les revenus devait s'éteindre en 2024, il est prolongé jusqu'en 2033). Par curiosité, faites une recherche "CRDS" sur votre moteur préféré, pour tenter de savoir quels médias ont évoqué ce premier "impôt coronavirus". Et comparez le bruit médiatique ainsi généré à la glose sur l'allocution d'hier soir.

Arrêt sur images par Daniel Schniederman La critique média, en toute indépendance: je suis abonné.


dimanche, juillet 29, 2012

Entreprises: à propos du changement de discours du président Hollande et du gouvernement

La société moderne c'est l'économie. L'économie c'est la production de biens et de services et leur consommation. Ce sont les entreprises qui assurent la production de biens et services marchands pour tout le monde. Les entreprises produisent, emploient et paient des salariés, paient des impôts quand elles font des bénéfices. Avec les impôts des entreprises et des ménages, l'État assure des services publics: santé, éducation, police, pensions, solidarité etc... L'État prélève 56.6% (2010) de la richesse produite pour ses dépenses principalement de personnels. Avec un PIB de 2145 milliards d'€ (2010), les 64.8 millions de français avaient 33100US$/habitant en moyenne... Lire la suite.